C'est un peu l'histoire du droit des animaux, où l'homme a toujours fait une sélection selon ses sensibilités et besoins.
Pendant longtemps, ici même au Canada, les animaux ont été considéré comme des biens meubles, qui n'avaient aucune protection. Les amendes pour abus étaient ridicules.
Pourtant, lors des premières colonies, la peine la plus grave était d'être trouvé responsable d'avoir mis le feu à une maison, ou d'avoir tué un cheval. En un mot, les animaux ont longtemps été jugés selon leur utilité pour l'homme.
En cette journée du droit des animaux, on peut se féliciter que la société reconnaisse qu'ils sont doués de sensibilité, et que non, ils ne sont pas l'équivalent d'une chaise.
Tant mieux si vous gâtez votre chat, votre chien ou votre oiseau, mais dites-vous que trop souvent, les animaux n'ont pas cette chance.
source: Donner droits aux animaux n'est pas réduire ceux des hommes