Ces constats, remis en vertu de la Loi sur la santé publique, vont de montants allant de 1000 $ à 6000 $. Certains contrevenants pourraient aussi faire face à des poursuites criminelles.
Ce sont en effet, selon un communiqué de l'UPAC publié jeudi, 200 cas qui sont entre les mains du Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP).
Selon les dires de Mathieu Galarneau, porte-parole de l'UPAC, « les gens qui sont accusés au pénal pourraient toujours être accusés au criminel ».
Sur le total de cas à l'étude par le DPCP, une trentaine sont en lien avec de potentielles poursuites criminelles.
L'UPAC fait également un appel à la population afin de trouver des personnes qui auraient des informations concernant une quelconque fraude en lien avec les preuves vaccinales. Un formulaire de dénonciation est disponible sur le site web de l'organisme. Il est également possible de le faire via la ligne téléphonique 1 844 541-UPAC (8722).
Source : La Presse