Comparaissant devant un juge à cet effet, celui-ci a refusé de libérer M. Amalga, car « il y a une probabilité marquée » que l'homme essaie encore d'entrer en contact avec le premier ministre du Québec.
Selon la décision du juge Simon Ricard, le leader anti-masque devra donc purger une peine de prison de 3 mois, en attente de son prochain procès.
Le juge a ensuite affirmé que « son insistance et son entêtement [à s'approcher du premier ministre] provoquent un risque d'entraînement qui représente un risque pour la sécurité du premier ministre ». Celui-ci a aussi conseillé à M. Amalega, qui se représente seul, de se prendre un avocat.
De plus, François Amalega Bitondo doit subir trois autres procès dans des municipalités différentes, soit Joliette, Shawinigan et Montréal.
Source : La Presse