« Il m'a montré des photos dans son cellulaire et m'a parlé de son travail d'ingénieur [...], de sa mère décédée dont il a pris soin, qu'il conduit des avions, qu'il a deux frères, qu'il aime les voyages, etc. [...] On a vraiment eu de belles discussions. »
« En marchant, Simon m'a pris la fesse d'une façon très très intense, très agressive, une très grosse poignée de fesse. Tout de suite, je lui ai demandé : "Peux-tu me dire qu'est-ce que j'ai fait ou qu'est-ce que j'ai dit qui t'a permis de croire que tu avais le droit de me toucher? Dis-le moi!" Je le savais que la réponse était non [...]. Et là, il disait : "Je suis désolé, je suis désolé, c'est mes mains. C'est pas moi, c'est mes mains." »