Celle-ci, nommée Paris Wells, et âgée de 28 ans, voulait prendre rendez-vous avec un médecin après avoir découvert une bosse dans son cou.
Elle s'est alors rendue dans une clinique d'urgence affiliée à la Princess Royal University Hospital, située dans le comté de Kent, en Angleterre. Les médecins qui ont examiné son cas n'ont pas du tout eu l'air préoccupé par la bosse de Mme Wells. Selon eux, la bosse « ne semblait pas être cancéreuse » et serait problement reliée à un rhume que la jeune femme a contracté une semaine auparavant.
Puis, au fil des semaines qui ont suivi, Paris a remarqué que sa bosse continuait à grossir et était beaucoup plus dure.
Elle a alors demandé à sa tante, qui travaille comme radiologue, de faire une nouvelle vérification de sa bosse à l'aide d'un examen par résonance magnétique.
Les résultats sont effroyables : la bosse n'est pas du tout reliée à un rhume, mais bien à un lymphome hodgkinien de stade 2. Ce type de cancer, plutôt rare, se développe à partir du système lymphatique avant de se propager dans l'entièreté du corps.
Pour information, environ trois personnes sur quatre souffrant d'un lymphome hodgkinien survivent au moins dix années. Paris Wells, pour sa part, débutera ses traitements de chimiothérapie dans les mois à venir.
Source : Le Journal de Québec