« Partout où j'allais, le monde me reconnaissait dans la rue (...) À toutes les fois, c'était une shot d'adrénaline. Je ne mangeais pas beaucoup (...) parce que ton ventre est tellement noué (...) il y a pleins d'affaires qui se passent.
À un moment donné, c'est le sentiment de solitude qui arrive. Parce que toi, pendant ce temps-là, tu as l'impression que tu es donc bien entourée. La planète est là, mais, oui, oui c'est éphémère (...) Le down commence à se ressentir quand tout cet effet de nouveauté est rendu normal. Là, ce n'est plus drôle. »