« J'ai toujours eu de la misère à trouver mes repères. J'arrivais à Paris fatigué. C'était une période de remises en question. Je me demandais si j'étais au bon endroit et si je faisais la bonne chose. Je me sentais loin de chez moi, parce que j'aime bien être à la maison, j'aime Montréal, j'aime le Québec », a-t-il affirmé à ce sujet.