« En en parlant avec ma psychologue, ma psychologue était comme "En ce moment, ce que vous vivez, il ne peut pas avoir de la place pour de la joie, comme c'est dans les deux ou dans les trois pires choses qu'un humain peut vivre" [...]. Je pense que cette épreuve-là, d'avoir la maturité de pas faire "J'ai le goût de parler du bébé", ça a été vraiment difficile, pis je sais que je n'ai pas été parfaite [...]. Dans le sens qu'il y a plein de choses que j'ai fait que j'aurais faites comme "Hey peut-être que je pourrais le laisser tranquille", mais quand même, ça m'a vraiment appris à être moins sur moi, t'sais comme à me taire des fois. Je ne sais même pas si c'est la maternité qui m'a changée ou cet événement-là de comme, être posée. »