« Me prononcer, ne serait-ce que par solidarité, m'est impossible. Je pourrais perdre encore plus de sous amassés au fil de ma carrière pour me défendre contre quelque chose que je n'ai pas fait, pour quelque chose que j'ai tu. Que nous avons toutes tu. Nous n'avons rien fait d'autre que ce qu'on nous a demandé de faire tout au long de nos vies violentées. Et aujourd'hui, pour n'avoir rien fait (de mal) et rien dit (de faux), nous suscitons mépris et suspicion. Un jour, il faudra nous expliquer. »