« Oui, et quel privilège ç'a été de pouvoir l'accompagner jusqu'au dernier moment. Toutes ces années, ma mère a été ma priorité. J'ai commencé mon deuil bien avant son départ. Je souffre depuis très longtemps... Je savais que ça allait arriver... (Sonia est submergée par l'émotion.) Les larmes sont imprévisibles chez moi: elles arrivent quand je ne m'y attends pas. L'autre jour, à la pharmacie, quelqu'un m'a demandé des nouvelles de ma mère, ignorant qu'elle était décédée. J'ai craqué. Encore maintenant, je trouve difficile de dire que ma mère est décédée. »