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Sophie Durocher s'exprime sur la montée de lait de Guy Nantel et Serge Denoncourt

PUBLICATION
R. Blais
30 avril 2022  (9h31)
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Cette semaine, plusieurs personnalités publiques ont dénoncé des situations qu'elles ont vécues dans lesquelles elles n'étaient pas capables d'avoir de services en français dans des commerces visités.

En effet, c'était d'abord le comédien et metteur en scène Serge Denoncourt qui avait exposé, sur le plateau de Bonsoir Bonsoir!, un incident dont il avait été témoin où il n'avait pas pu être servi en français dans un restaurant Tim Hortons à Montréal.

Puis, c'est ensuite l'humoriste Guy Nantel qui avait déploré avoir été accueilli dans un restaurant par une serveuse qui parlait seulement anglais.

Pour dénoncer ses deux situations qui sont, selon elle, inacceptables, la chroniqueuse du Journal de Montréal et du Journal de Québec Sophie Durocher a dédié sa tribune d'aujourd'hui à ce thème.

Elle a commencé en félicitant les deux personnalités pour leurs dénonciations publiques :

« Enfin! Moi qui me plaignais récemment que les artistes ne reprenaient pas le flambeau de la défense du français, on peut dire que j'ai été... servie. »

Ensuite, elle a expliqué que les Québécois devraient à leur tour exiger d'être servis en français lorsqu'ils sont dans un commerce de la province.

« Ça va prendre combien de pétages de coche de gens connus avant que l'ensemble des Québécois se réveillent et se révoltent devant l'anglicisation galopante du Québec? Des "pétages de coche", j'en fais souvent, dans cette chronique, à QUB Radio, ou sur mes médias sociaux. Récemment, je suis allée dans un centre commercial où j'ai été accueillie par un "Bonjour, Hi". Quand je me suis plainte à la vendeuse, le gérant est devenu très agressif avec moi en me disant : "Nous, on est inclusifs, Madame". »

Dans sa chronique, elle explique que la langue française est méprisée dans l'ensemble du Canada. Selon elle, ce ne devrait pas être le cas dans un pays qui se dit « tolérant et inclusif ». Elle cite bien évidemment en exemple deux situations qui avaient fait les manchettes : le P.-D.G. d'Air Canada qui ne parlait pas un mot français et qui disait n'avoir jamais ressenti le besoin d'apprendre le français, de même que la gouverneure générale du Canada qui ne parle que l'anglais également.

Vous pouvez lire la chronique en entier juste ICI.

Source : Monde de Stars

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