C'est son employeur qui avait tout d'abord affirmé que Michael avait « frauduleusement » encaissé un chèque de 3710 $.
Michael, affirmant que c'était totalement en son droit, poursuit donc la pâtisserie pour diffamation, pour un montant de 27 000 $. Il a d'ailleurs dit :
Michael a travaillé quatre mois pour l'entreprise, où il avait dans ses tâches de promouvoir le restaurant sur les réseaux sociaux et de signer les chèques de l'entreprise.
Cependant, selon la pâtisserie, l'influenceur aurait encaissé un chèque un mois plus tard pour une période pour laquelle il avait déjà été rémunéré.
L'influenceur, de son côté, affirme que la paie est légitime et qu'elle était pour une période antérieure. Son avocat, Me Mathieu Laplante-Goulet, a également témoigné :
Finalement, Michael, qui possède désormais son propre restaurant, déplore la « témérité » des propos tenus par son ex-employeur et dénonce leur désir de le faire passer pour un homme malhonnête, faisant atteinte à sa réputation.
Une date pour le procès sera donc fixée en automne.
Source : Worabia
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