Depuis l'annélation d'une province ukrainienne par la Russie en 2014, une escalade des hostilités secoue cette région du globe.
Jen Psaki, qui est le porte-parole de la Maison-Blanche à affirmé que « nous sommes à un stade où la Russie peut lancer à tout moment une attaque en Ukraine ».
La Russie a nié être l'agresseur dans cette histoire, rejetant plutôt la faute sur l'OTAN.
Pourtant, la Russie a refusé de retirer de la frontière ukrainienne ses quelque 100 000 soldats russes, disant qu'ils ne menaçaient personne.
De son côté, la ministre des Affaires étrangères allemande, Annalena Baerbock a répondu à son homologue russe que « plus de 100 000 soldats russes, équipements et tanks ont été déployés près de l'Ukraine, sans raison. C'est difficile de ne pas voir cela comme une menace ».
Malgré tout, il existe encore une volonté de la part des Américains de régler le conflit de manière pacifique.
Antony Blinken, le chef de la diplomatie américaine, devrait rencontrer son homologue Sergueï Lavrov, vendredi, dans l'espoir de trouver une sortie au conflit.
Crédit : La Presse