« Il y a des hauts et des bas. C'est sûr que je pleure encore beaucoup, c'est un grand vide. Moi, j'ai toujours eu espoir. On a toujours espoir jusqu'à la fin. Mais lui, il savait qu'avec la greffe de la moelle osseuse qu'il a reçue en février, il n'avait que 35 % de chances de s'en sortir. Il a beaucoup combattu, il a été formidable, mais je pense que, vers la fin, il s'est résigné. Je le voyais dans son attitude.
Comme dit mon fils Maxime, il nous a appris à mourir. Il avait écrit ses volontés et il avait tellement tout bien préparé, que tout a été plus facile pour nous par la suite. Surtout pour les garçons, parce que ce sont eux qui ont fait le plus gros du travail. »