« C'est une succession de deuils, même encore aujourd'hui. C'est réaliser qu'il ne suivra pas un parcours traditionnel, qu'il ne quittera probablement jamais la maison. Mais aujourd'hui, ces deuils-là ne me hantent plus. Je ne pourrais plus imaginer Mathis autrement. Par contre, quand il était plus jeune, on essayait parfois d'imaginer à quoi aurait ressemblé sa vie s'il n'était pas autiste. »