Anne-Élisabeth Bossé fait de surprenantes confidences au sujet des couples ouverts
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Invitées au podcast Datestable, Anne-Élisabeth Bossé et Suzie Bouchard, amies et co-stars de la nouvelle série Gâtées pourries, ont offert une discussion authentique et sans filtre sur l'amour, les relations et leurs attentes envers un partenaire.
Anne-Élisabeth, qui a a aussi brillé dans Indéfendable, n'a pas mâché ses mots, comme rapporté par HollywoodPQ.
Lorsqu'on lui a demandé ce qu'elle cherchait en amour, la comédienne a été très claire: elle veut de la constance, pas une montagne russe émotionnelle:
« Moi, j'étais vraiment tannée du chaud-froid. Je voulais quelqu'un qui fasse chaud, chaud, chaud, pas chaud-froid, chaud-froid. Je n'en pouvais plus! »
Elle explique qu'elle en a assez de donner de l'amour à des gens qu'il faut convaincre et que les allers-retours dans une relation lui ont causé beaucoup de peine :
« J'ai tellement donné d'amour à des gens qui étaient à convaincre, et leur négligence après l'intimité me ça m'a tellement abîmée. »
En discutant des relations modernes, Anne-Élisabeth s'est montrée très honnête sur le fait qu'elle n'était pas à l'aise avec l'idée d'une relation ouverte:
« Même si je pouvais avoir l'âme d'une polyamoureuse, j'ai l'insécurité affective d'une personne monogame! »
Une phrase qui a bien fait rire tout le monde, mais qui en dit long sur son besoin de stabilité émotionnelle.
Elle a aussi avoué que les discussions sur les ex la mettaient mal à l'aise:
« Je n'aime pas entendre parler des ex tellement ça vient me chercher Je me gère, là, mais je n'aime pas bien ça savoir que je n'ai pas été la seule. »
Elle reconnaît que c'est irrationnel, mais impossible d'ignorer ce petit côté narcissique qui la rend allergique à l'idée que son partenaire ait aimé quelqu'un d'autre avant elle.
Plus loin dans la discussion, Anne-Élisabeth a aussi abordé sa propre vision de l'intimité et des émotions:
« Si je suis rendue à coucher avec quelqu'un, c'est parce que j'ai déjà de l'intérêt, je suis mêlée. C'est rare que je couche pour la couchette. »
Elle avoue que chaque histoire d'un soir qu'elle a vécue s'est toujours accompagnée d'une petite peine d'amour, ce qui la pousse à croire qu'elle n'est pas faite pour ce genre de détachement:
« J'aimerais ça être capable d'être là-dedans, mais arghh »
Au final, elle et Suzie sont arrivées à une conclusion bien claire: compartimenter les sentiments, c'est plus compliqué qu'on veut bien se le faire croire.
Même si elle n'est pas à l'aise avec l'idée d'une relation ouverte pour elle-même, Anne-Élisabeth a insisté sur le fait qu'elle respecte totalement ceux qui font ce choix:
« C'est pas pour moi, mais je ne juge pas ceux qui sont bien là-dedans. »
Voici le balado :
Vous reconnaissez-vous dans ses réflexions?
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