« J'ai braillé en tabarn*k! J'ai trouvé ça atroce. Façon de parler! Nous, on savait qu'elle faisait un tournage [pour le documentaire], mais on ne savait pas jusqu'où elle irait...
Mais, je suis contente. Contente que Céline se soit ouverte aux gens et qu'on l'ait vraiment vue. Qu'on ait vu que ce n'est pas une laryngite, ni une otite, comme elle disait.
Je suis contente que, maintenant, les gens savent pourquoi elle se soigne, pourquoi elle veut revenir, et comprennent mieux cette maudite maladie-là, qu'on ne connaît pas. »