Comme l'annonçait TVA Nouvelles, les augmentations anticipées pour les semaines à venir pourraient aller de 25 et 40 %.
Cette hausse de prix est attribuée à de nombreux facteurs, notamment la pandémie, la réduction de la taille des troupeaux par éleveurs, les conséquences directes de l'augmentation des coûts et les changements climatiques.
Expert en alimentation, Sylvain Charlebois a tenu à souligner que le nombre de têtes de bétail est équivalent à celui de 1990, ce qui diminue fortement la disponibilité sur le marché.
D'ailleurs, cette situation serait à l'origine d'une hausse des prix du boeuf de 11 % par rapport au record établi en 2014. À l'époque, plusieurs boucheries avaient dû fermer leurs portes.
Sylvain Charlebois s'inquiète d'ailleurs pour les boucheries:
Carlos Dighlawi, le propriétaire de la boucherie et poissonnerie Terre et Océan, admet qu'il trouve très difficile de maintenir des prix stables pour ses clients, même si ses marges de profit sont constamment réduites. Il s'est d'ailleurs exprimé à TVA Nouvelles:
Selon plusieurs, cette nouvelle hausse du prix du boeuf poussera sans doute les consommateurs à choisir des alternatives moins coûteuses comme la volaille et le porc.
Source: Croustillant QC
Vers une hausse inattendue des prix des steaks et burgers
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