« On a l'impression que le milieu artistique québécois fourmille de prédateurs.
[Il est important de ne pas faire] le procès d'individus sur la place publique.
Comment ça, on devrait toujours croire "les victimes"? Plus besoin d'enquête policière, plus besoin d'interrogatoire, plus besoin de procès? Et comment fait-on la distinction entre des vraies et des fausses victimes, dites-moi?
Les autres, qui ont gardé le silence, n'auraient-elles pas dû entamer des démarches, ne serait-ce que pour empêcher qu'il fasse d'autres victimes? »