« Comme je suis directement touchée par la maladie, parce que mon père en est atteint, j'avais besoin de sentir que, même si je n'ai pas de pouvoir sur la maladie, je pouvais faire quelque chose. Ça me sort de mon impuissance d'accepter ce rôle-là. Avec la lettre, j'ai l'impression qu'on amène des moyens plus concrets pour apporter des changements. C'est pour ça que j'ai accepté ce rôle, que je ne pensais jamais tenir. »