La présidente de la Fédération des syndicats de l'enseignement, Josée Scalabrini, abonde dans le même sens que le collectif, ajoutant que « les enseignants veulent être en classe, mais ils veulent plus de sécurité. Est-ce que la sécurité est là ? Non. Sur la qualité de l'air, on n'a toujours pas de réponse. On se fait dire que c'est sécuritaire, mais d'où viennent les recherches ? La vaccination n'est pas là, les masques N95 ne sont pas là ».
Bien que le ministre de la Santé à s'attend à ce « [qu'un] très grand nombre de salariés, tous corps d'emploi confondus, devront s'isoler pour quelques jours dans les prochaines semaines », ce dernier maintient tout de même sa décision d'ouvrir les classes la semaine prochaine.
Crédit : La Presse