L'ex-combattant en arts martiaux mixtes accusé : il n'aurait finalement pas agi en légitime défense

L'homme avait d'abord fait les manchettes après qu'un groupe de cinq hommes armés soit entré par infraction à son domicile où il se trouvait avec sa femme. Selon les premières informations, le groupe voulait dérober un gros héritage qui appartenait à M. Larenas.

À un certain moment, quelques heures après le début du braquage, l'ex-combattant aurait attrapé le couteau de l'un de ses ravisseurs puis l'aurait mortellement atteint. Les complices de ce dernier auraient quant à eux pris la fuite.

Lors de l'enquête, il aura été établi que la maison appartient à une compagnie à numéro dirigée par l'un des plus importants courtiers immobiliers de la région lavalloise. Eduardo et sa conjointe la louaient depuis quelques mois.

Né en Argentine, l'homme de 42 ans avait déjà fait face à la justice en 2000 en raison d'une accusation de voies de fait causant des lésions sur un client. Dans ce temps-là, Eduardo Larenas travaillait comme portier au bar Le Dagobert, dans la ville de Québec.

Lors de son interrogatoire avec des enquêteurs pour faire le point sur les événements dans lequel il dit avoir agi en conditions de légitime défense, l'homme a finalement été accusé de meurtre au deuxième degré. Sa conjointe, pour sa part, a été accusée de complicité.

Plus de détails à venir...

Source : TVA Nouvelles