Elle a d'ailleurs rajouté :
« J'écoutais la radio, j'entendais des gens qui m'avaient déjà interviewée; je regardais la télé, je voyais du monde avec qui j'avais joué; j'allais voir un spectacle, je n'étais plus sur la scène, mais dans la salle... Et je rencontrais des gens qui me disaient : «Qu'est-ce que tu fais? On ne te voit plus!» Ça a pris un bout de temps avant que je sois capable de dire avec le sourire : «Ce n'est pas parce que tu ne me vois plus que je ne fais plus rien.» Oui, ç'a été difficile de faire le deuil de ce métier. »