« Selon l'information enregistrée par la police de 2011 à 2020, les deux tiers des homicides familiaux sont des meurtres au premier degré (65,9 %), suivis des meurtres au deuxième degré (23,7 %). Très peu sont des homicides involontaires coupables (10,0 %), alors que les infanticides sont exceptionnels (0,4 %). Pour toutes les relations, les meurtres au premier degré sont majoritaires. »