On pense entre autre à la possibilité d'interdire littéralement les interpellations aléatoires, c'est à dire sans motifs suffisants.
La police en générale est l'objet, ici comme aux États-Unis, de critiques constantes depuis quelques années. On l'accuse entre autre d'avoir des réflexes racistes, et une culture de discrimination.
Tout ceci n'est pas sans incidence, car plusieurs policiers vivent un désengagement face à leur travail. Pourquoi risquer d'être traité de raciste, à l'époque où tout le monde vous film?
Ici comme dans toutes les questions publiques, rien n'est aussi simple qu'on voudrait bien le croire.
Source: La ministre Guilbault amorce sa réforme policière