Maye, la mère d'Elon Musk, supplie les gens d'arrêter de parler en mal de son fils
Elon Musk, l'homme le plus riche du monde, a toujours fait face à la critique.
Cependant, tout cela a pris une ampleur inégalée depuis que celui-ci a pris possession, pour 44 milliards de dollars, de Twitter.
Son arrivée à la tête du réseau social et son désir d'en faire un espace pour la liberté d'expression digne de ce nom ont fait quitter plusieurs utilisateurs de la plateforme pour chercher des alternatives en matière de « microblogging ». D'ailleurs, le réseau social Mastodon, qui est un concurrent de Twitter, a vu son nombre d'utilisateurs exploser depuis le rachat.
La mère d'Elon Musk, Maye, a récemment supplié les gens d'arrêter de parler en mal de son fils, rapporte le média Ipnoze. Cette déclaration est perçue par plusieurs comme un véritable cri du coeur.
C'est lors d'un entretien avec la chaîne télévisée britannique BBC qu'elle a fait passer son message, en demandant aux gens « d'arrêter d'être méchants avec lui », affirmant que ce dernier recevait « beaucoup de haine » sur internet.
Elle explique plus tard être convaincue que son fils soit un véritable « génie » du monde des affaires et des technologies.
La mauvaise gestion du réseau social par celui qui est aussi patron de Tesla et de SpaceX ces derniers jours fait également beaucoup jaser, alors qu'il a annoncé le licenciement de près de la moitié de ses effectifs.
D'ailleurs, récemment, l'ancien président du conseil d'administration de Twitter, le Québécois Patrick Pichette, lui aussi licencié lors de l'arrivée en poste de Musk, déclarait lors d'une entrevue avec Radio-Canada Info que celui-ci a dû réembaucher une bonne partie du personnel mis à la porte pour faire rouler le tout. C'est selon lui un très bon exemple de sa mauvaise gestion.
Même l'actuel président des États-Unis, Joe Biden, a fait une mention qui n'est pas passée inaperçue lorsqu'une journaliste lui a demandé si le rachat de Twitter par Elon Musk constituait en une « menace à la sécurité nationale ».
Voici ce qu'avait répondu le président Biden :
Il faut en effet savoir que le milliardaire n'a pas été le seul à sortir le chéquier lors de l'achat. D'autres grands investisseurs, notamment une firme d'Arabie saoudite, sont aujourd'hui propriétaires de l'entreprise à l'oiseau bleu.
Source : Grands Titres
